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Sid à Londres

Sid à Londres
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11 juin 2008

Peu de nouveautés sur Planète Sid. Rémi n'a que

Peu de nouveautés sur Planète Sid. Rémi n'a que moyennement apprécié mon extension de vocabulaire, je ne comprends pas pourquoi... Question boulot, la rédaction du rapport avance plutôt bien. Ce qui est rassurant après y avoir passé toutes mes journées depuis le dépuis de la semaine dernière, y compris mes week-end et certaines de mes soirée. Mais le résultat est là, puisque j'ai pu rendre mon premier manuscript complet avec introduction, matériel et méthodes, résultats, discusisons, références et annexes, hier soir. J'attends maintenant les commentaire de Super Visor pour pouvoir repasser dessus, et principalement étoffer l'intro avec de nouvelles références et surement remanier la discussion. Par bonheur, les méthodes et résultats sont déjà passés par deux personnes différentes, donc c'est déjà pas mal avancé.
Fin du rapport, vendredi !

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4 juin 2008

Ce blog est fermé. La suite de mes aventures:

Ce blog est fermé. La suite de mes aventures: http://sidleparesseux.canalblog.com

17 mai 2008

Des armes

Des armes, des chouettes, des brillantes
Des qu'il faut nettoyer souvent pour le plaisir
Et qu'il faut carresser comme pour le plaisir
L'autre, celui qui fait rêver les communiantes
Des armes bleues comme la terre
Des qu'il faut se garder au chaud au fond de l'âme
Dans les yeux, dans le coeur, dans les bras d'une femme
Qu'on garde au fond de soi comme on garde un mystère
Des armes au secret des jours
Sous l'herbe, dans le ciel et puis dans l'écriture
des qui vous font rêver très tard dans les lectures
et qui mettent la poésie dans les discours
des armes, des armes, des armes
Et des poètes de service à la gâchette
Pour mettre le feu aux dernières cigarettes
Au bout d'un vers français... brillant comme une larme
des armes, des armes... des armes...

Léo Ferré

26 avril 2008

Voilà que j'endosse une responsabilité que je

Voilà que j'endosse une responsabilité que je n'ai pas demandée. Étant finalement la seule personne à faire de la modélisation théorique à l'institut, me voilà d'un seul coup considéré comme un spécialiste en programmation et modélisation, moi, qui n'ai même pas 6 mois d'expérience en recherche. Et me voilà à conseiller une post-doc qui veut créer un modèle alors qu'elle n'en a jamais fait. Il va même peut-être falloir lui donner de vrais cours de programmation, ce que je n'ai jamais fait non plus... Tout une aventure !
Heureusement, pour me remettre de tout ça, j'ai pu rejoindre les collègues au social club pour quelques heures de socialisation. Je commence à pas mal les connaître tous ces collègues, et à passer finalement pas mal de temps avec eux, ce qui est vraiment sympa. Je parle du coup beaucoup plus anglais qu'au début du stage, et j'ai l'impression de pas mal progresser. Tout ça pour dire que ma vie sociale est finalement plutôt bien établie, et que le reste n'allant finalement pas si mal, vivre ici est vraiment plaisant !

24 avril 2008

Grâce à Amelia, j'ai pu découvrir cette étonnante

Grâce à Amelia, j'ai pu découvrir cette étonnante guitariste, et je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager mon expérience, et de vous faire apprécier l'étendue de son talent guitaristique par cette modeste vidéo. http://www.youtube.com/watch?v=_wsFeXWc82Y

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23 avril 2008

Filet de canard sur lit de miel et orange, et ses pommes sautées

Pour 4 personnes :

  • 3 échalotes
  • 2 pommes
  • 2 oranges
  • 2 magrets (350g pièce)
  • quelques gouttes de vinaigre balsamique
  • 2 cuillères à soupe de miel liquide
  • 50g de beurre
  • sel, poivre, épices
  • quelques pomme de terre à sauter

Éplucher et hacher les échalotes. Éplucher les pommes et les couper en lamelles. Presser les oranges en gardant quelques quartiers pour la présentation finale. Inciser la peau des magrets en croix, sans entamer le muscle.

Cuire les magrets, à feu vif d'abord côté peau puis saisir côté chaire avant de cuire à feu doux à couvert. Assaisonner. Dans une autre poêle, cuire les pommes avec un petit morceau de beurre. Conserver les pommes et les magrets au chaud.

Récupérer la graisse de canard pour faire les pomme de terre sautées dans une nouvelle poêle. Déglacer la poêle des magret avec un peu d'eau. Blanchir les échalotes dans le vinaigre, ajouter un peu d'eau si nécessaire. Baisser le feu et ajouter le miel et le jus d'orange. Réduire la sauce quelques minutes en évitant de faire bouillir. Hors du feu, ajouter le beurre en fouettant. Laisser reposer pendant que les pommes de terre cuisent.

Couper les magrets en tranche et les placer sur un plat en intercallant des pommes. Placer le reste de pommes d'un côté, les pommes de terres de l'autre, et napper de la sauce. Ajouter quelques quartiers d'orange pour la présentation.

23 avril 2008

A bird in a hand is worth two in a bush.

A bird in a hand is worth two in a bush.

22 avril 2008

Every cloud has a silver lining.

Every cloud has a silver lining.

22 avril 2008

Merci

Merci Louise pour cette soirée délicieuse hier soir et ce moment de french cuisine.
Merci Papa pour m'avoir une fois encore sorti du pétrin aujourd'hui.
Merci Agathe pour les petits moments de discussion dans ma journée qui sont toujours des pauses bien agréables.
Merci Maman pour les cartes que je vois tous les soir en rentrant et que je relis quand je me sens seul.
Merci à tous mes lecteurs de continuer à lire mon blog.
Et merci à tous ceux que je n'ai pas cité dans cette petite chronologie mais qui le méritent quand même.

21 avril 2008

Contes, vents et marées

Sait-on jamais où les vents nous mènent ?
Moi ils sont venus me mettre un matin,
Hélas sur la route de Rennes, mauvais destin !

C'est là-bas que j'ai perdu tous mes biens
En trahissant naïvement tous les miens,
Mais ne vous l'avais-je pourtant pas prédit, vous mes amis ?

Cette chanson vous est un peu dédiée,
Me laissant une chance de me justifier
Sur ce temps qui vous fit, d'ailleurs merci, bien des soucis.

Preuve quand même que rien n'est jamais perdu,
Qu'y a toujours une place pour le traître vaincu,
Pour moi l'ami qui jours après jours devins un inconnu.

Rappellez-vous, c'était y a pas si longtemps
Un soir décidé j'ai changé de camp
Mettant dans le grenier de l'oubli mon utopie .

Moi la grande gueule des chemins rebelles,
Une nuit mes idéaux se sont fait la belle,
Pour des yeux marrons des cheveux bruns, bref, pour une belle.

Qui avait la couleur des promenades,
La douce odeur du parfum des grenades,
Qui justifiait son titre de bombe, de grenade.

Mais prière, ne lui en voulez pas trop !
Autant vrai qu'elle m'ait retourné le cerveau,
Je fus moi-même juge, condamné, coupable, truand, bourreau.

Enfin donc un soir j'ai changé de peau,
J'ai mis une belle écharpe, des gants, un chapeau.
Et malheureux j'ai consciemment perdu la mémoire.

J'ai pris le ticket pour le triste bateau,
Celui qui vous dérive au fil de l'eau
Et vous mène peu à peu dans un bien triste brouillard.

J'ai pas fait semblant de toucher le fond,
Bien sûr, j'ai pris l'alcool pour compagnon.
Juste à gauche de la nuit les poches pleines de hasard :

J'ai joué le rôle de pilier de comptoir,
L'alcoolique de service des fins de bars,
Celui qui traîne, ment et mendie deux ou trois coups à boire.

C'était Fredo le rigolo du quartier.
Le gentilhomme, le brave, le bien aimé.
Celui qui a toujours le sourire mais qui nous fait pitié.

Et un soir un homme m'a sauvé la vie,
C'était pas Jésus, c'était pas Dieu, pardi !
Juste un homme de passage qui avait bien vécu : un sage.

Il connaissait mon prénom, quel hasard !
Puis il m'a dit : "Je t'échange une histoire
Contre ta liberté" assurément j'ai accepté !

Et j'ai mis du temps à me rendre compte
Que, comme m'a dit ce sage à la fin du conte,
Quand t'as touché le fond du fond soit tu crèves soit tu remontes.

J'ai pris la meilleure solution,
Abandonnant toutes mes ambitions,
Celle qui un beau matin au coin d'la gueule vous insulte.

Celle qui au fil des expériences,
Du vécu des atouts des vues de sa science,
Celle qui sans prévenir vous fait devenir adulte.

Et le pire le comble de cette fin sombre,
M'en revenant du pays des décombres,
Tous mes amis avaient également disparu.

J'ai bien eu du mal à les reconnaître,
Dû au sérieux de leurs tristes yeux peut-être,
Je me suis aperçu qu'ils l'étaient tous devenus.

Alors...
Sait-on jamais où les vents nous mènent ?
Moi ils sont venus me mettre un matin.
Sait-on jamais où les vents nous mènent ?
Moi ils se sont bien moqués de ma peine.

Sait-on jamais où les vents nous mènent ?
Moi ils sont venus me prendre un matin.
Sait-on jamais où les vents nous mènent ?
Moi ils se sont bien moqués de ma peine !

Les Ogres de Barback, Irfan le héros


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